Quand on passe la moitié de sa vie à attendre….

𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́ 𝐞𝐭 𝐨𝐧 ne 𝐦𝐨𝐧𝐭𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐰𝐚𝐠𝐨𝐧

C’est un peu comme « quand je serais grande je serais heureuse »

Célibataire » je serais heureuse quand j’aurais le bon compagnon

En couple « on est mieux célibataire »

Seule  » finalement j’étais bien à deux !! ou je ne serais jamais heureuse à deux ?

Quand j’aurais la maison, le chien, le chat, le travail, l’argent, la santé je serais bien.

Et on peut passer sa vie à courir juste pour l’avoir.

Finalement que cherche-t-on un bonheur éphémère qui ne dépend que des autres, sachant que rien n’est figé dans le marbre.

Nous vieillissons et la santé évolue, les relations aussi et ce que nous aimons aujourd’hui ne sera pas forcément le cas demain.

Tout bouge, tout change, profitons de ce qui est aujourd’hui et surtout donnons-nous déjà à soi pour donner aux autres.